Angharadh a vu son armée être décimée... Jamais elle n'aurait pu penser que cela puisse arriver un jour : l'ultime trahison!
Depuis quelques temps, il se passait des choses étranges au sein de l'Aube de Sang, des embuscaces bien trop nombreuses pour porter atteintes aux officiers, des menaces de mort sur l'impératrice...
L' Aube de Sang dérangeait, elle gagnait en ampleur et ses actions pour servir le bien étaient nombreuses; guidée par la lumière l'armée faisait reculer l'ombre en Azéroth et bien plus loin également.
Thrysabel, l'espionne impériale de la guilde, la plus fidèle amie d'Angharadh se doutait que toutes ses actions contre l'Aube de Sang n'était pas seulement du au hasard, à la guerre etc. Mais jamais elle n'aurait imaginé qui pouvait en être responsable, qui donnait des informations sur eux et les mettait à ce point en danger.
Les 1ers à tomber furent les plus isolés, ceux qui avaient l'habitude d'opérer seuls, de ne confier la teneur de leurs missions qu'aux plus hauts gradés. Les missions solitaires et lointaines furent abandonnées, les soldats de l'armée ne devaient pas rester seuls. Même en groupe notre armée se faisait attaquer. Les pertes étaient de plus en plus lourdes! L'Impératrice échappa de peu plusieurs fois à la mort, grâce à son état major et au sang-froid des sentinelles chargées de sa protection. Des réunions secrètes furent organisées mais même là, l'ennemi venaient les trouver! Un ennemi invisible et implacable. Thrysabel commença à soupçonner une trahison au sein de l'armée, il était impossible qu'autant d’événements néfastes puissent se produire à la suite. Les rangs se resserrèrent autour de l'Impératrice pour la protéger. Petit à petit l'armée se réduisit malgré les efforts de chacun, elle se coupa des autres alliés, soupçonnant tout le monde.
Angharadh endossa une autre identité pour sortir sans risque mais même là il y eu des embuscades.
Un jour où Angharadh avait frôlé la mort Thrysabel décida de suivre une autre tactique, suivre un par un chacun des officiers, pour elle il était évident, même si cela la répugnait au plus haut point que les renseignements fournis à l'ennemi venaient forcément d'en haut.
(Suite plus tard, merci
)